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Ce que la presse en pense

London version trash
Olivier Coyette, met en scène ce spectacle intense et percutant comme une plongée trash dans l’intimité de huit personnages "déviants".
(…) Les comédiens incarnent avec beaucoup d’énergie ces personnages présents en permanence sur scène.
La Libre Belgique par Camille de Marcilly - 10/09/2014

"Pornographie", ou l’insoutenable évolution de l’espèce humaine.
C’est une pièce qui ébranle, qui dérange, mais qui dévoile aussi le sort réservé à certains individus dans une société où l’être humain ne représente plus qu’un objet aux yeux des autres. Pour cette nouvelle saison 2014/2015, le Théâtre de Poche a une nouvelle fois programmé des pièces percutantes.

(…) Tout au long de ces scènes, un sentiment domine au sein du public : le malaise. Car ces personnages, tantôt attachants tantôt effrayants, nous rappellent que tout un chacun peut, un jour ou l’autre, imposer ou subir un acte transgressif, un acte engendré par une société moderne où l’être disparaît à la faveur d’un monde globalisé, constitué d’individus anonymes.

(…) Les acteurs ne quittent jamais la scène, ce qui les mène à réaliser un exercice périlleux, mais non moins réussi.
Flandreinfo.be  par Joyce Azar - 16/09/20014 

C’est bizarre, repoussant et captivant à la fois.
Attention, le spectacle est interdit aux moins de 18 ans. Et pour cause : c’est du Théâtre de Poche dans ses grands jours qui se déploie là.
Le Soir par Catherine Makereel - 10/09/2014

Je l’ai ressenti comme un uppercut du lendemain !
J’avais l’impression d’avoir des pages facebook qui se succèdent les unes aux autres, où croyant ne se livrer qu’à ses amis (mettez-y  25 millions de guillemets) on se livre en fait à tous.

On est un peu dans le parfum de scandale que l’on a pu voir quand «HAIR » est sorti en son temps.

Beaucoup de questions ! Des questions qui perturbent le citoyen, le journaliste. Que l’on puisse s’emparer d’un sujet aussi dur sans faire allusion ni à l’attentat, ni au terrorisme, ni au sentiment d’insécurité dont on parle en permanence  (…) cela ça m’a particulièrement plu.

Il y a une forme d’exposition mais après, tout cela ne nous choque pas quand nous y sommes confrontés, dans nos vies quotidiennes mais manifestement sur une scène de théâtre cela pourrait encore être amené à choquer certains.
RTBF - La Première -"Bande de curieux" par Eddy Caekelberghs -  11/09/2014

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