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Dans le cadre de la Quinzaine de la Solidarité Internationale organisée par la Ville de Bruxelles

Le Théâtre de Poche, la Ville de Bruxelles, le CIRE et le Mouvement Convivial s’associent pour offrir deux activités le 6 octobre 2014 :

En prélude aux représentations de sa nouvelle œuvre, Et si je les tuais tous Madame*, l'écrivain burkinabé Aristide Tarnagda sera à Bruxelles pour une journée d’animation, de réflexion et d’échanges. 
* Ce spectacle sera présenté au Poche en septembre 2015


1. Une matinée d’animations autour de l'exil
 


- L’auteur fait tout spécialement l’aller-retour Burkina/Bruxelles pour rencontrer les élèves autour de son texte Et si je les tuais tous Madame et leur proposer un atelier d’écriture ayant pour thème: la migration.
- Le Mouvement Convivial propose aux élèves 2 ateliers : une introduction ludique au cadre légal et historique du statut de réfugié ainsi que le jeu des tapis sur la répartition des réfugiés dans le monde. Ces deux activités permettent de confronter ses impressions a priori avec des aspects concrets d’une réalité déformée par les clichés médiatiques et leur traitement politique.


2. Une rencontre d'auteurs Aristide Tarnagda & Olivier Coyette


À 20h, l’auteur s'entretiendra à Passa Porta avec Olivier Coyette, directeur du Théâtre de Poche, à propos de son travail, des thèmes qu’il aborde dans ses textes, ainsi que de son choix d'exercer son métier au Burkina Faso.

Comédien et auteur, Aristide Tarnagda a été révélé en 2004 par les Récréâtrales de Ouagadougou. La rencontre qu’il y a faite avec Koffi Kwahulé a définitivement inscrit l’écriture au cœur de sa vie artistique. Aristide est auteur d’une dizaine de pièces jouées dans le monde entier. La plus récente, Et si je les tuais tous Madame, sera à l’affiche du Théâtre de Poche en septembre 2015. Dans cette pièce, l’auteur dénonce de façon poétique et puissante notre société fracturée et passe en revue la situation d’un Homme d’aujourd’hui: son histoire, son exil, ses rêves, ses doutes, son insoumission, son sens des valeurs, son besoin d’avancer. Faire entendre toute une vie, le temps d’un feu rouge… tel est le pari du dramaturge burkinabé dans ce monologue qui a été présenté au « In » du festival d’Avignon en 2013.

« (…) un bel écho aux questions cruciales de l’exil, de l’engagement, de la richesse si diversement distribuée, de l’urgence, mais aussi de l’art. »
La Libre Belgique

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