« Imprégné de l’air du temps, le metteur en scène transforme cette féerie boisée en exploration des identités (fluctuantes) de genre. Le masculin et le féminin y sont sans cesse inversés, brouillés, recomposés. »

Le Soir, Catherine Makereel 

« Virevoltante, foisonnante, fantasmagorique et féministe, l’adaptation du texte de Shakespeare par la Cie Point Zéro s’inscrit aussi dans les préoccupations actuelles,

abordant les questions du genre et de l’identité sexuelle (…)

Un festival pour les yeux et les zygomatiques. »

 La Libre Belgique, Laurence Bertels

« Un conte shakesqueerien ! »

« Jean-Michel d’Hoop nous offre une réjouissante relecture de cette nuit de folie »

Moustique, Eric Russon

« Ce Songe met sa rêverie au service de la célébration des désirs, de tous les désirs »

« La comédie romantique se fait ici politique. »

Le Vif, Nicolas Naizy

« Ce songe d’une nuit d’été est une pépite psychédélique qui nous entraine dans un tourbillon d’étonnement et de ravissement presque infantile. On est impressionné, captivé, hilare devant l’audace, la pertinence de ce mélange des genres. (…)

Il y a beaucoup de rires dans la salle, presque une euphorie. »

 Le Suricate Magazine

« Le Songe d'une nuit d'été met en scène une frontière fluctuante entre rêve et réalité, entre ce qui est permis et interdit. »

« Quoi de mieux pour illustrer la catharsis la plus totale, la désinhibition qu'exprime le Songe d'une nuit d'été qu'une rave party ? Quoi de plus juste dans l'expression de la liberté fulgurante que la fluidité des codes de genre ? »

« Décloisonnons le théâtre, secouons les classiques, et laissons-nous surprendre »

Karoo, Marie Charue

Un spectacle haut en couleurs et fort en rebondissements.

Si le public ne cesse de rire, il appréciera également cette comédie pour sa mise en scène qui réussit largement le pari d’immerger les spectateurs dans un univers décalé qui nous extirpe de la morosité actuelle. (…)

En quelques mots, Le Songe d’une nuit d’été est une réussite à tous les niveaux.

RTBF, Ségolène Misselyn

 Toute la magie du théâtre est là, à suivre à la fois l’expression et les gestes des marionnettes, et, légèrement en retrait mais bien visibles, l’action des manipulat.eur.ices.

C’est fou, débridé et tendre à la fois, sur les musiques techno de Boris Groenemberger, avec en filigrane une réflexion sur les questions du genre.

 Au Soleil et au Charbon, Françoise Nice