"C’est officiel : Gary Owen est notre nouvel auteur britannique fétiche !"
"Une pièce plus juteuse et imprévisible qu’un christmas pudding"
"Violence and son zigzague au sein d’une famille comme on traverse un champ de mines"
"Gary Owen compose des personnages subtils, brouillant sans cesse nos tentatives de jugement"
"Jean-Michel Van den Eeyden tisse un huit clos bluffant de naturalisme , dirigeant ses comédiens au cordeau."
"Jamais glauque, parfois même cocasse, Violence and son flingue surtout la perpétuation des modèles de domination."
"Adrien De Biasi épate en adolescent primesautier mais terriblement seul, prisonnier de sa libido et des injonctions d’un père toxique. Face à lui, Léone François campe une jeune fille consciente de son pouvoir d’attraction sexuelle, sa force morale trébuchant sur les ravages du patriarcat. Impressionnant, Jean-Luc Couchard déploie une masculinité rugissante, voire inquiétante, tout en laissant affleurer les failles de son personnage. Magali Pinglaut trouve aussi le ton juste en maîtresse blessée sous ses dehors vulgaires."
Le Soir – Catherine Makereel
« Avec “Violence and Son”, Gary Owen confronte un ado à son père biologique, alcoolique et rustre, dans un huis-clos explosif à l’humour caustique »
“Après Iphigénie à Splott au Poche, mis en scène par Georges Lini, c’est Jean-Michel Van den Eeyden qui s’empare de l'œuvre de [Gary] Owen, en portant à la scène Violence and Son. Pour mener ce huis-clos familial intense et explosif, il s’est entouré de quatre comédiens formidables. Certaines attitudes et répliques s’avèrent particulièrement grossières et violentes, mais le tandem Jean-Luc Couchard - Magali Pinglaut tire habilement son épingle du jeu (...) Face à eux, Adrien de Biasi et Léone François excellent en ados en plein jeu de séduction, mais pris dans l’engrenage de la violence.”
La Libre Belgique – Stéphanie Bocart
"Une écriture viscérale, brute, dérangeante, acide mais terriblement juste et vraie."
"La très belle mise en scène de Jean-Michel Van Den Eeyden, permettant des ruptures, des respirations mais aussi des points de tension parfois insupportables."
"L’intelligence du propos associé au travail minutieux mis en place sur les planches du Poche font de Violence and son, un petit bijou théâtral."
"La force du théâtre est de permettre aux spectateurs de sortir d’une salle et de rester possédé par le sentiment qui les a animés quelques minutes plus tôt. (…) Violence and son possède tout ça et bien plus encore. Son impact vous appartiendra parce qu’il sera intimement lié à vous, à votre vécu, votre essence, vos bagages et vos casseroles. Vous n’en sortirez pas indifférent, c’est certain. Et pendant l’espace de quelques instants, vous aurez vu quelque chose de vrai et de tragiquement humain"
Le Suricate – Sara Cernero