Découvert au Festival d’Avignon et bien avant 2 Molière amplement mérités (spectacle de théâtre privé et révélation féminine pour Olivia Pavlou-Graham), 4211 km d’Aïla Navidi est depuis un moment le coup de cœur de l’équipe du Poche. Un coup de cœur qui n’a pas manqué de rassembler et de fédérer, une fois de retour à Bruxelles. A croire que le destin de la jeune Yalda était de croiser le public du Poche - et si possible à un moment où la quête de liberté des femmes et des hommes du Moyen-Orient est si importante. A l'image de l’élan de solidarité que le spectacle n’a cessé de susciter au cours de ces 3 semaines d'exploitation belge ! La preuve avec vos mots qui ont inondé les réseaux sociaux.

« Un spectacle sublime »

Céline via Instagram

 « Merci pour le choix de cette programmation ! Bravo aux artistes pour leur travail essentiel de qualité et d’humanité »

Charlotte via Facebook

« Quelle merveille ce spectacle ! »

Kiki via Instagram

« Pièce forte et touchante »

Patrick via Facebook

« Très belle mise en scène, acteurs fabuleux. Moi aussi elle m’a bouleversée… »

Nathalie via Instagram

« Juste magnifique »

Yannick via Instagram

« Cette pièce est formidable, courez-y »

Laure via Facebook

« Merci au Théâtre de Poche de Bruxelles »

Said via Instagram

« Que d’émotions ! A voir absolument »

Leïla via Facebook

« Un spectacle fort »

Yannick via Instagram

« Foncez voir cette beauté »

Elena via Instagram

« Awesome »

Paul via Instagram

« Une pièce qui nous parle de liberté, d’engagement, d’amour, de racines. C’est touchant, terriblement d’actualité et beau, tout simplement. Merci aux merveilleux.ses comédien.nes. Merci au Théâtre de Poche de Bruxelles de programmer ces précieux moments d’humanité »

Pauline via Instagram

« Juste hallucinant »

Luci via Instagram

« Courez autant de kilomètres qu’il le faudra pour voir ce bijou. Une histoire de racine qui pousse et fleurit envers et contre tout »

Julien via Instagram

« C’est tout simplement magnifique et tout y est de qualité. Le texte bien sûr toujours sur le fil d’un équilibre parfait nous balançant d’une écriture légère et efficace dans les dialogues à des moments d’intensité justes et touchants dans les moments intimes. Mise en scène formidable, sobre et dépouillée, mais particulièrement juste à servir le propos. Le presque rien permet le presque tout et c’est d’une merveilleuse souplesse. J’inclus à tout cela bien sur une mise en lumière très fine et un formidable décor sonore distillé sobrement et des musiques servant parfaitement les choses. Et pour ce qui est des comédiens là aussi une distribution généreuse en talents dont la souplesse de jeu était un ravissement. J’ai vu des dizaines de personnages et ils n’étaient pourtant que 6.  »

Pierre via e-mail